En bref…

Les Vert.e.s s’engagent :

  • A lutter contre les migrations « forcées » liées aux conflits armés, aux dictatures ou liées aux problèmes climatiques
  • A lutter contre la fracture entre pays riches et pays pauvres, ce qui a, entre autres comme conséquences, une migration économique de plus en plus importante. En offrant des conditions de vie et des salaires respectables aux habitants d’autres nations, nous leur donnons la possibilité de vivre chez eux, proches de leur famille et non de choisir la fuite. Pour ce faire, nous militons pour une économie durable et équitable (commerce équitable, initiative multinationales responsables, etc.)
  • Pour une politique migratoire solidaire et une réelle politique d’intégration prenant en considération les différences culturelles et offrant des formations aux migrants au sujet de notre culture et de notre législation. Nous encourageons également la possibilité pour les réfugiés de s’intégrer professionnellement (formation, reconversion professionnelle, etc) et/ou de participer à des travaux d’utilité publique décemment réénumérés ceci notamment afin de lutter contre la précarité sociale et économique (travail au noir, criminalité, etc).

Plus de détails : www.verts.ch

On ne compte plus les personnes devant fuir leur pays pour cause d’insécurité économique ou politique, guerre, changement climatique ou catastrophe écologique. Seule une minorité privilégiée le fait de plein gré.

Le respect des droits humains avant tout

Pour les VERTS, une chose est claire : repli sur soi et exclusion ne peuvent jamais être la réponse aux mouvements migratoires. Ils défendent une politique d’asile qui ne classe pas les personnes selon leur provenance, ne les marginalise pas et ne les pousse pas dans l’illégalité. Mais une politique qui reconnaît le potentiel d’une société multiculturelle, qui place les droits humains au premier plan, crée des itinéraires de fuite sûrs et offre des chances aux personnes migrantes.

Combattre les causes de la fuite

Parallèlement, les VERTS s’engagent pour réduire la fracture entre les pays riches et pauvres : nous plaidons en faveur d’une politique économique et fiscale, basée sur l’équité. Et prenons fait et cause pour que la Suisse offre davantage ses bons offices lors de négociations de paix, au lieu de livrer des armes dans les zones en conflit. Et qu’elle étoffe sa coopération au développement, seule manière de combattre à long terme les causes de la fuite.