Biodiversité aiglonne, la mission possible

Habitant.e d’Aigle, viens te promener. La Grande Eau a de nouvelles berges. Tu entends le murmure de la rivière mais le bruissement des feuilles est ténu. Au milieu des vignes, les chants des oiseaux se font rares depuis des années. Dans les cultures de la plaine, moins de bourdonnements d’abeilles, peu de criquets. Retourne en ville, sillonne ses cinq quartiers : un seul véritable parc pour accueillir les rêveurs, le parc St-Pierre…

Habitant.e d’Aigle, ensemble, nous allons créer des parcs, aménager des lieux de rencontre épargnés par les nuisances des autos, planter des arbres, abolir les pesticides.

Fauvettes, campanules, papillons, truites et nous, habitant.e.s d’Aigle, serons gagnants. Nous méritons une eau claire, un air pur et des aliments sains dans une ville paisible où il fait bon vivre ensemble et longtemps. Ainsi le promeneur sera à nouveau un élément de cette nature retrouvée.

Aigle, une ville où il fait bon vivre

  • Aigle solidaire. Soutenir la population, les indépendants, l’économie de proximité, en créant un fond spécial et en doublant le budget alloué aux prestations complémentaires communales.
  • Bien habiter. Mener une politique d’acquisition de terrains stratégiquement situés grâce au droit de préemption communal. Prévoir une aide individuelle au logement.
  • Aigle, pour des familles heureuses. Une place d’accueil à chaque enfant dans un réseau abordable et efficace, au service de la population ; des places de jeux, zones de détente familiales inter générationnelles ; une Maison de quartier pour Aigle centre ; une Ludothèque communale professionnalisée ; la promotion de la Médiathèque par des activités artistiques régulières pour enfants et adultes.
  • Aigle répond aux attentes de tous.tes. Les propriétaires de chiens doivent pouvoir disposer d’un espace de liberté réservé, un dogpark. Cette obligation légale est indispensable à l’équilibre des chiens. Ceci permettra aussi d’empêcher des rencontres entre ces animaux et ceux qui souhaitent les éviter.

Aigle, une ville de rêve en 2026 déjà ?

Zut, je n’ai plus de beurre ! Heureusement, à deux pas de chez moi, au centre d’Aigle, je trouve tout ce dont j’ai besoin : des magasins qui vendent des produits locaux et me permettent de soutenir les producteurs du coin, d’effectuer des achats en vrac, bios, etc. Vraiment de tout et pour tous ! Utopie ou réalité à Aigle d’ici 2026 ?

Un, deux, trois, quatre, cinq… C’est bon, tout le monde est là ! Quel plaisir de pouvoir se balader à vélo, en famille dans Aigle. Grâce aux nouvelles pistes cyclables et aux zones de rencontre, les enfants vont à vélo et seuls à l’école, aucune crainte à avoir. Utopie ou réalité à Aigle d’ici 2026 ?

Mobilité : Vive les transports publics aiglons !

MobiChablais existe depuis 2 ans. Il est très apprécié mais a encore des lacunes. Voici ce qui l’aidera à les combler :

  • Des tarifs revus à la baisse. Aigle ne doit pas être plus chère que Lausanne. Il faut augmenter la subvention communale (actuellement de 20%) de manière significative.
  • L’achat d’un billet doit être facile. L’obligation d’utiliser un téléphone portable exclut trop d’utilisateurs.
  • Le quartier sous-gare mérite une meilleure une desserte.
  • Les abribus manquants doivent être installés au plus vite.

La Terre est un gâteau plein de douceur. A. Maillet

Dans notre ville en mutation, les besoins des piétons et des cyclistes ne sont que rarement pris en compte. A l’heure de l’urgence climatique, ces projets sont prioritaires :

  • Sécurité pour tous sur la voie publique.
  • Mise en place d’un véritable réseau cyclable.
  • Elimination des risques pour les enfants sur le chemin de l’école à pied ou à vélo.
  • Augmentation des espaces dédiés aux piétons, promotion des zones piétonnes et de rencontre. 
  • Création de chemins sécurisés pour traverser les routes très fréquentées et les carrefours difficiles.

2026, c’est demain !

Je me promène entre de longues tiges et des herbes rases, des fleurs et des insectes. Je suis au milieu d’une prairie sauvage et pourtant, je suis au centre d’Aigle, sur un toit végétalisé. En été, depuis l’installation de cette prairie, le bâtiment est plus frais de 3 à 4 degrés. Comme c’est agréable ! L’eau est bien drainée lors de fortes pluies. Un peu plus loin, j’aperçois un autre toit où poussent des légumes. Les élèves de l’école y apprennent à jardiner et reconnaître les insectes. Ce système existe déjà dans de nombreuses villes suisses. Utopie ou réalité à Aigle d’ici 2026 ?

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