Question orale

Le
traitement des micropolluants dans les STEP vaudoises est plus que
jamais d’actualité. Plusieurs associations de communes tentent de
mettre aux normes leurs installations.

Si
ces démarches s’inscrivent dans la préservation du climat ainsi
que la lutte contre toutes les mesures polluantes adjacentes, il y a
cependant sujet à discussion entre le but recherché et les impacts
négatifs que peuvent avoir les théories lançant les projets.

Le
plan directeur prévoit toujours une augmentation de la population.
La croissance imaginée n’est pas au rendez-vous.

En
conclusion de la présentation du plan directeur vaudois des STEP il
est fait mention de l’objectif suivant :

Une
ressource à préserver !

Il faut comprendre, avec l’image accompagnant le texte, que nous parlons du territoire.

Ce
territoire est actuellement au centre des soucis de notre société,
il n’est pas infini.

Ce
vecteur n’a pas été suffisamment pris en compte lors de ce plan
directeur. Pour preuve, il sera nécessaire de procéder à des
emprises sur les terres agricoles pour réaliser ces infrastructures
(APEC
par exemple).

La
question est la suivante :

Est-ce
que le CE avait pris en compte lors de l’élaboration de son Plan
cantonal micropolluants vaudois les capacités de terres à
disposition, sans changer les affectations agricoles et adaptées à
la croissance de la population par région selon la LAT mais en
respectant sa conclusion de l’époque soit « Une
ressource
(terrains)
à
préserver
 » ?

En remerciant le CE de sa réponse.

Didier Lohri