Ce matin, les Verts vaudois ont lancé leur campagne pour les élections fédérales de cet automne. Une campagne de proximité, connectée, et avec pour trois thèmes principaux : l’alimentation, l’écologie créatrice d’emplois et l’économie verte (lutte contre le gaspillage). Ambition affichée : retrouver leur 3ème siège au National et conserver celui de leur actuel Conseiller aux Etats, Luc Recordon. Parce qu’une présence verte au Parlement n’a jamais été aussi essentielle pour l’avenir de notre pays.
Relations avec nos voisins européens, migration, maintien des emplois en période de franc fort, sortie du nucléaire, politique climatique, préservation du paysage et de notre qualité de vie, stratégie biodiversité, économie verte, mariage pour tous, protection des Alpes, agriculture sans OGM, autant de thèmes qui seront à l’agenda de la politique fédérale lors de la prochaine législature. Autant de thèmes pour lesquels une forte présence verte sera indispensable si nous voulons que notre pays prenne résolument la voie d’un avenir durable, caractérisé par une ouverture confiante, la préservation de notre patrimoine naturel (et, au-delà, des ressources notre planète), et des perspectives de vie et de travail de qualité pour les générations futures. Pour cela, il faut un 3ème siège vert au Conseil national.
Pour convaincre les Vaudoises et les Vaudois de l’importance de redonner tout son poids à la délégation verte au Conseil national, les Verts iront à la rencontre de la population au travers de plusieurs actions mêlant échanges à l’heure de l’apéro, relai-mobilité, débat en public, nettoyages de rives et parcs, flash-mob et présence aux marchés. En tant que parti pionnier du numérique, les Verts mèneront aussi une campagne électronique active sur les réseaux sociaux.
Ils s’afficheront, en outre, sur les murs du canton en mettant l’accent sur trois thèmes principaux qu’ils s’engagent à défendre (parmi 9 thèmes de campagne au total):
-l’alimentation : pour des denrées alimentaires de saison, produites le plus localement possible, selon des critères écologiques et sociaux responsables, y compris lorsqu’ils sont importés, sans ajouts artificiels ou manipulations génétiques ; pour une agriculture familiale et paysanne.
l’économie verte (lutte contre le gaspillage): pour des produits durables et innovants, dont on peut profiter longtemps, moins de déchets, plus de possibilités de réparer, puis de recycler ou de revaloriser les biens de consommation ; pour épargner nos ressources, tant naturelles que financières.
l’écologie créatrice d’emploi : alors que le nucléaire a fait sont temps, non seulement les alternatives renouvelables existent, mais elles rendront nos entreprises plus concurrentielles et garantiront de nombreuses places de travail en Suisse.
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