Question orale

Lors de la rentrée scolaire 2019-2020 un projet pilote de médiation culturelle démarrait dans divers établissements scolaires du canton qui, selon les dires du Département concerné par l’ancienne législature (DFJC), était proposé comme une ressource pour le corps enseignant, les directions et les milieux culturels.

Ce projet avait pour mission de (dixit le DFJC) : « : mettre en place une éducation culturelle dans les établissements scolaires. On compte sur les Argonautes pour rapprocher les artistes des écoles, initier des projets culturels dans et hors des établissements, et combler l’inégalité sociale quant à la sensibilisation à la culture des élèves » et « …pour rapprocher les artistes des écoles, initier des projets culturels dans et hors des établissements, et combler l’inégalité sociale quant à la sensibilisation à la culture des élèves …» 

Cette phase pilote était prévue pour trois années soit jusqu’au terme de l’année scolaire 2021-2022.

Dans son communiqué de presse du 29 juin dernier, le DFJC faisait le point sur plusieurs actions culturelles menées auprès des jeunes et des écoles, dont le projet Argonaute où, le concernant, il était fait état d’une expérience : « …. Unanimement bien accueillie et qui a permis de tirer des constats sur le métier de médiatrice et de médiateur culturel en milieu scolaire. Elle a également permis de démontrer les bénéfices directs et indirects chez les élèves ainsi que l’importance de la culture et de la créativité́ au sein de l’école » mais sans qu’il soit précisé s’il était prévu de poursuive ce projet et de l’étendre à l’ensemble du Canton.

Raison pour laquelle, je pose la question suivante :

  • Quelles sont les intentions du Conseil d’État pour la suite de ce projet ?

En remerciant le Conseil d’État pour sa réponse.
 
 
Question subsidiaire si le Conseil d’Etat décide de continuer :
Si lors de la précédente législature, le service de la culture et de la formation était regroupé dans le même Département facilitant certainement les collaborations et l’organisation. A l’avenir, comment le DEF et le DCIRH envisagent-ils de s’organiser ?