Blonay – Saint-Légier : adaptation locale au changement climatique dans notre commune
Le Plan énergie et climat communal (PECC) met en exergue le rôle exemplaire et important que les communes vaudoises ont à jouer dans les actions à mener en matière d’enjeux climatiques et environnementaux .
______________________________
Le Plan énergie et climat communal (PECC) qui découle de la mesure stratégique n°27 du Plan climat cantonal met en exergue le rôle exemplaire et important que les communes vaudoises ont à jouer dans les actions à mener en matière d’enjeux climatiques et environnementaux .
A ce titre, les Vert.e.s de Blonay-St-Légier continueront à lutter contre les gaz à effet de serre (GES) en favorisant la mobilité douce, l’accès facilité aux transports publics et la limitation à 30 km/heure sur l’ensemble de notre nouvelle commune. En cela, nous soutenons l’indispensable baisse du recours aux énergies fossiles qui, avec la déforestation, constituent les causes essentielles du dérèglement climatique.
En matière d’environnement nous poursuivrons nos actions visant un urbanisme contrôlé, arborisé qui évite le mitage du territoire. Nous mettons aussi l’accent sur la nécessaire renaturation des cours d’eaux si importante pour éviter les conséquences graves de crues telles celles de l’Eau Froide à Roche en 2007 et de la Grande-Eau aux Diablerets en 2005. Nous priorisons la préservation de la qualité de l’eau, de la variété de la faune et de la végétation pour le bénéfice de toutes et tous. C’est ainsi que nous privilégierons la filière bois, la protection des forêts à reboiser avec des espèces plus résilientes aux GES et les couloirs de passage pour la faune sauvage, pour ne citer que ces exemples.
En bref, nous mettrons comme nous le faisons depuis tant d’années tout en œuvre pour limiter au maximum les atteintes à la planète car, comme l’atteste tous les experts internationaux suite au rapport du Groupe international d’experts sur l’évolution du climat (GIEC) du début du mois d’août 2021, il nous faut réagir désormais avec vigueur, parce que nous vivons une «alerte rouge pour l’humanité».