Suite au référendum relatif au Plan partiel d’affectation (PPA) du Parc des Sports, les Verts continuent de soutenir ce PPA. Nous regrettons que le référendum remette en cause un PPA qui permet d’améliorer les infrastructures vieillissantes de cette zone verte dédiée aux sports.
En effet, dire « non » à ce PPA, c’est …

  • Revenir à l’ancien plan général d’affectation qui ne permet pas de nouveaux aménagements, ni le développement des constructions existantes (comme la couverture de la piscine), péjorant ainsi l’attractivité des clubs morgiens ;
  • Perdre encore minimum 5 ans pour un nouveau PPA ;
  • Repousser d’autant la possibilité d’une piscine couverte que les clubs, les écoles et la population attendent depuis trop longtemps ;

Mais c’est aussi et surtout dire « non » à :

  • La rénovation de la plage de la Cure d’air et la création d’une deuxième ;
  • L’aménagement de la Morges, notamment en renaturant son embouchure pour éviter des inondations ;
  • La possibilité de bénéficier de terrains multisports utilisables toute l’année ;
  • La relocalisation du parking en souterrain permettant une utilisation en surface pour les manifestations ;
  • La possibilité d’intégrer la voie verte de Saint-Prex à Lutry.

Ce PPA définit les grandes lignes des aménagements de notre Parc des Sports. C’est-à-dire quelle activité à quel endroit. Ainsi, si le refus du PPA bloquera le Centre aquatique, il retardera aussi de façon conséquente tous les autres projets d’aménagements prévus sur la zone du Parc des Sports. C’est pourquoi les Verts soutiennent ce PPA pour avoir un Parc des Sports moderne, attractif et avec plus d’espaces dévolus à la population.
Ensuite, si le PPA est accepté, chaque projet futur sur cette zone sera soumis au Conseil, comme le Centre aquatique par exemple. C’est seulement suite au rapport de la Commission et au vote du Conseil communal sur ce sujet que le Centre aquatique devrait être exposé à un référendum. A ce titre, les Verts souhaitent que la population ait le droit au dernier mot concernant ce projet particulier et de fait, s’engagent à demander un référendum à l’issue du vote du Conseil communal.