Défense du postulat Après Lausanne Capitale Olympique, Lausanne Capitale verte

Explication : prix depuis 2006 à une ville européenne (Europe géographique), donné par la commission européenne. Donné à une ville de plus de 100’000 habitants avec gouvernement démocratique Des agglomérations comme Stockholm (2010), Nantes (2013), Bristol (2015) et Ljubljana (2016) ont notamment été primées. Elle doit remplir 3 objectifs importants :

  • montre sa capacité à atteindre des objectifs environnementaux élevés
  • s’engage dans des objectifs permanents et ambitieux pour améliorer l’environnement et le développement durable
  • peut agir comme un modèle pour inspirer d’autres villes et promouvoir les meilleures pratiques environnementales

Concrètement, les candidats sont évalués sur la base de douze indicateurs : la contribution locale à la lutte contre le changement climatique planétaire, les transports, les espaces verts urbains, le bruit, la production et la gestion des déchets, la nature et la biodiversité, l’air, la consommation d’eau, le traitement des eaux usées, l’éco-innovation et l’emploi durable, la gestion de l’environnement par les pouvoirs locaux et la performance énergétique.
Je vois plusieurs points positifs :

  • image de la ville (externe et interne) : c’est un grand atout de communication. Image très positive de la ville car moyens de mettre des atouts
  • prix (donc pas processus de labellisation), idée de mettre de mettre en avant ce que la ville fait déjà où va faire (je peux citer beaucoup de projets : Plaine-du-Loup, plantage, M2, gestion des déchets, tridel, etc.)
  • faire partie d’un réseau (point très important) : le but est le prix mais même si pas gagnant, peut faire partie du réseau des villes  réseaux d’idées mais aussi réseaux d’innovation
  • nouvelles idées à appliquer, espoir d’avoir un élan (encore plus grand) pour le développement durable, pas forcément que de la part de la ville mais aussi initiatives privées.
  • reprend plan de législature : « Développer des projets de collaboration et d’échange, en priorité en lien avec les axes principaux de promotion et de développement de la Ville (DD doit ête un axe de promotion de la Ville).

Conclusion : outil de communication mais pas seulement, élan du DD et réseau important sur ces questions de ville du développement durable. Dans idée que les villes ont et auront un rôle déterminant en vue du développement durable et des changements climatiques, il me semble que ce serait un bon moyen (pris dans une politique globale comme c’est actuellement).
Alice Genoud