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Un bilan qui démontre la compétence et la polyvalence des Vert·e·s lausannois·es, et un programme ambitieux pour que Lausanne soit exemplaire face aux urgences environnementales et sociales.
L’année 2021 s’ouvre sur le signe de l’espoir de « l’après-coronavirus », les Vert·e·s lausannois·es présentent l’excellent bilan de leurs deux Municipaux, Natacha Litzistorf et Jean-Yves Pidoux, et de leur groupe qui a été très actif au Conseil communal. Fort·e·s de ces acquis importants, les Vert·e·s lausannois·es présentent un programme ambitieux pour la prochaine législature. Programme qui sera porté par leur trois candidat·e·s à la Municipalité, Natacha Litzistorf, Daniel Dubas et Xavier Company, et 80 candidat·e·s au Conseil communal. 
En plus du bilan de la Municipalité in corpore, les Municipaux sortants Natacha Litzistorf et Jean-Yves Pidoux peuvent être fiers de bilans personnels à la hauteur des enjeux qu’il et elle défendent depuis des années. Jean-Yves Pidoux, en charge des Services industriels (SiL) relève l’énorme pas en avant réalisé pour l’énergie durable, grâce en particulier à la fiscalité écologique mise en place avec les Fonds du développement durable (FDD) et de l’efficacité énergétique (FEE) : ils ont augmenté leur impact au fil des ans et vont devoir le faire encore davantage dans le cadre du futur plan climat de la Ville de Lausanne. Mais la production énergétique n’est pas en reste, puisque les installations et participations des SiL dans les énergies renouvelables ont augmenté de manière exponentielle ces dernières années, en particulier dans le secteur du solaire photovoltaïque. Le chauffage à distance jouera un rôle crucial dans la réduction des émissions de gaz à effet de serre, et les projets tant d’éoliennes, de biogaz que de géothermie ambitieuse verront bientôt le jour, alors que les SiL distribuent exclusivement du courant renouvelable depuis un an.
Natacha Litzistorf, en charge de la Direction du logement, de l’environnement et de l’architecture (LEA), présente une politique du logement réjouissante : plus de 500 logements écologiques créés et 200 en construction (plus de 80% à loyers abordables ou modérés, et le reste en loyers libres et PPE). Des rénovations avec près de 100 logements assainis énergétiquement. Son bilan environnemental est d’envergure : un parc périurbain pour préserver la biodiversité, vingt parcs créés ou revisités en ville, une augmentation de près de +140% des parcelles sans phytosanitaires ou bio sur les parcelles agricoles de la Ville de Lausanne, des arbres mieux défendus, 15 nouveaux potagers urbains et 15 Jardins de poche. Le bilan s’étoffe avec une lutte contre les nuisances (bruit, 5G, perturbateurs endocriniens). Son bilan se complète par la gestion du Pôle Gare : agrandissement de la gare ; interface efficiente trains-métros-bus-mobilités douces ; place piétonne à 75%, plus accessible pour les personnes à mobilité réduite, plus végétale ; espaces publics sous gare piétonniers mettant en valeur les commerces ; et mise en cohérence avec Plateforme 10 et le quartier de la Rasude.
En complément à ce travail exécutif, et parfois en appui, le groupe des Vert·e·s lausannois·es au Conseil communal a montré sa diversité et sa polyvalence tout au long de la législature. Le domaine qui a vu le plus d’interventions vertes est celui de l’urbanisme au sens large, qui inclut la mobilité et les espaces verts. De la lutte pour la forêt du Flon et le tram t1 à celle contre l’aéroport de la Blécherette et contre les îlots de chaleur, en passant par la protection de Rovéréaz ou de l’Hermitage, les Vert·e·s ont su défendre les valeurs chères aux Lausannoises et Lausannois. Les enjeux égalitaires et la lutte contre les violences sexistes et sexuelles ont été portés fortement tout au long de la législature, en axant particulièrement sur le harcèlement de rue et l’égalité dans le domaine public, ainsi que sur l’amélioration de l’égalité dans les politiques familiales. Les valeurs sociales ont également été fermement défendues, tant pour les plus précarisés (sans domicile fixe, réfugié·e·s, apatrides, prostitué·e·s), que pour les employé·e·s de la Ville dans ces périodes difficiles. Si les Vert·e·s sont plus connu·e·s par le grand public pour leurs combats écologiques et sociaux, l’économie n’est pas en reste avec un soutien aux commerces locaux et aux circuits courts, ainsi qu’une volonté déterminée de désinvestir les finances de la ville des énergies fossiles et de l’armement et de soutenir tous les genres culturels.
Le programme 2021-2026 se veut fort de ces succès, mais propose aux Lausannois·es de passer à la vitesse supérieure en termes de justice climatique et sociale. Il présente les ambitions à long terme des Vert·e·s lausannois·es pour une ville durable et solidaire. Les impératifs urgents à réaliser dans les cinq prochaines années sont détaillés au travers des cinq grandes ambitions pour Lausanne : la justice climatique, la justice sociale et l’égalité, la ville de demain, une population en pleine santé et le partage du pouvoir. Ce programme exprime les valeurs vertes dans toutes les actions de la Ville de Lausanne, du quotidien au très long terme, dans son impact environnemental, son soutien aux habitant·e·s, et sa gestion des politiques publiques. 
Nous ne pouvons plus attendre. Il est urgent d’atteindre la neutralité carbone, de préserver notre environnement et d’assurer une justice sociale fondée sur l’égalité et l’équité.La crise sanitaire et économique que nous traversons actuellement nous montre que des changements rapides et drastiques dans les politiques publiques sont possibles. Cependant, de tels changements ne doivent laisser personne de côté. Pour y arriver, il est nécessaire de renforcer le tissu local, économique, sociétal et écologique. Quoi de mieux que l’échelle d’une ville pour réaliser cela ? Les Vert·e·s lausannois·es s’engagent à tout mettre en œuvre pour atteindre ces objectifs durant la prochaine législature, à la Municipalité comme au Conseil communal, pour faire de Lausanne une ville exemplaire où il fait bon vivre et fera bon vivre.
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