Dérèglements climatiques, chute de la biodiversité, égalité et inclusion… Les défis que traverse notre société sont multiples. C’est avec cette envie de continuer à agir que les Vert·e·s vaudois·es lancent leur campagne pour les élections fédérales d’octobre prochain.

Durant cette législature, les attaques contre le climat ont été nombreuses. Des faits prouvés par la communauté scientifique sont régulièrement niés, des fausses informations sont diffusées, des mesures pourtant indispensables pour notre avenir sont régulièrement refusées. Mais malgré ce contexte tendu, nos élues et élus ont récolté des succès notables :

Au Conseil national, nous avons notamment pu soutenir les énergies renouvelables, réformer le droit pénal sexuel pour revoir la définition du viol, introduire plus de transparence sur le financement des partis au plan national, obtenir des mesures contraignantes pour enfin se rapprocher de l’égalité salariale, empêcher l’exportation de pesticides nocifs…

Au Conseil des Etats, notre conseillère sortante Adèle Thorens Goumaz a notamment fait passer une motion pour un partenariat public-privé, œuvré pour des finances durables et en faveur de l’agriculture ou encore amené avec succès l’économie circulaire dans les débats politiques.
Toutefois, la droite reste encore majoritaire dans les chambres fédérales et trop de mesures sont purement et simplement refusées pour des raisons idéologiques, au détriment du climat, de la biodiversité ou de la justice sociale. Il est impératif qu’un changement de paradigme intervienne pour limiter les dégâts engendrés par nos décisions passées avant qu’il ne soit définitivement trop tard.

La liste de candidates et candidats proposée par les Vert·e·s vaudois·es répond donc parfaitement à ces défis : paritaire, inclusive, expérimentée, représentative et issue de tout le canton, villes et campagne.

Parmi les engagements de nos 19 candidat·e·s figurent des sujets qui sont au cœur des préoccupations des Vaudoises et Vaudois :
Energie : rénovations énergétiques de bâtiment, plus aucune installation de chauffage fossile, etc.
Biodiversité : renaturation des cours d’eau, protection des biotopes, protection des espèces, perméabilité du sol, soutien au tourisme durable, renoncement progressive aux produits phytosanitaires de synthèse et pesticides, etc.
Égalité-inclusion : ancrage dans le droit pénal en matière sexuelle le principe « seul un Oui est un Oui », suppression de l’interruption de grossesse de la loi pénale, inscription dans le code pénal des violences psychologiques et de harcèlement au sein du couple, création d’un congé parental équitable, protection contre le licenciement après un congé maternité ou paternité, condamnation de l’incitation à la haine en raison de l’identité de genre, soutien aux personnes victimes de cette dernière, etc.
Économie et agriculture : introduction d’un indice de réparabilité aux produits électroniques, recyclage amélioré, lancement d’un pôle de recherche national sur le climat, soutien à la création de valeur locale et à l’économie circulaire, soutien à l’agriculture durable, etc.

Au Conseil des Etats, Raphaël Mahaim, 40 ans, avocat, défendra le siège laissé vacant par Adèle Thorens Goumaz : « Le Conseil des Etats est un bastion conservateur, nous avons besoin d’un duo de gauche pour défendre une société plus écologique, égalitaire et solidaire. »

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